Maeva Ghennam est l’invitée de Cyril Hanouna dans l’épisode de TPMP de cette semaine sur C8. Dans cet épisode, elle revient sur un drame qui a failli entraîner sa mort. Quelqu’un ou quelques personnes ont tenté de mettre le feu à sa maison.

« Quelle expérience terrifiante pour Maeva Ghennam ! La personnalité de la télé-réalité a révélé que des intrus masculins ont tenté de mettre le feu à sa résidence, comme l’a publié le compte Twitter de la populaire émission C8.

Et alors qu’elle s’exprime dans cette partie de l’émission, elle va laisser échapper un cri du cœur, comme elle l’a fait sur Snapchat, où elle a évoqué l’un des épisodes les plus traumatisants de sa vie.

A son retour à Marseille, sa maison a été détruite par un incendie. Elle déclare : « Bonjour mon bb je te jure que je n’ai pas fermé l’œil de la nuit, j’ai de l’angoisse je ne me sens pas à l’aise dans ma propre maison », avant d’afficher une photo de Magali Berdah, qui est là pour la soutenir. « J’ai de l’anxiété je ne me sens pas en sécurité dans ma propre maison », dit-elle.

« Je t’adore, Magali Berdah. Toujours là pour moi. Tu es mon roc. » Merci beaucoup pour le rôle important que vous jouez dans ma vie.

« Vous avez eu l’audace de venir chez moi et de mettre le feu ce soir ! Il y a quelques jours, j’ai reçu des menaces, mais je n’ai pas voulu les prendre au sérieux, alors je vais vous dire quelque chose que je n’ai pas pris au sérieux : « Depuis plusieurs mois, je reçois des tas et des tas de messages avec des drapeaux pirates.

Tous les quelques jours, je reçois également des menaces supplémentaires, que je n’ai pas voulu prendre en compte car, pour moi, les réseaux sont une chose, mais la vie réelle en est une toute autre. » On dirait que Booba est coupable dans le fond.

Ils ont brûlé ma maison, et je ne me sens plus en sécurité. Les gens qui ont brûlé ma maison sont ceux qui ont fait des films pour s’en vanter. Malgré le fait qu’ils se sont mis en danger et qu’ils avaient le potentiel de prendre ma vie, ils sont très fiers de leurs actions.

Ces individus ne se soucient de rien, pas même de la perspective d’un meurtre.